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Type : Brèves

Une cartographie pour réduire les pollutions lumineuses

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  • Climat

  • Atténuation des impacts du changement climatique

Pour réduire les effets de l’éclairage artificiel sur la biodiversité, le Cerema (Centre d’études et d’expertise sur les risques, la mobilité et l’aménagement) fournit aux collectivités des images satellitaires des sources lumineuses nocturnes.

Comment a évolué la précarité énergétique en 2022 ?

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  • Chiffres clés

  • Économie

  • Énergie

En 2022, 10,8 % des ménages étaient en situation de précarité énergétique (3,2 millions au total), soit une baisse de 0,9 point par rapport à 2021.
Graphique présentant l'évolution de la précarité énergétique, au sens du taux d'effort énergétique Valeurs de l'indicateur brut pour les années 2015 à 2022 : 12,1 % / 11,2 % / 11,2 % / 11,5 % / 11,0 % / 9,9 % / 11,7 % / 10,8 % Valeurs de l'indicateur corrigé de la météo pour les années 2015 à 2022 : 12,6 % / 11,0 % / 11,4 % / 12,1 % / 11,4 % / 10,9 % / 11,6 % / 11,6 % Note de lecture : en 2022, l'indicateur de précarité énergétique basé sur le taux d'effort énergétique s'élève à 10,8 %. Corrigé des conditions météorologiques, il est de 11,6 %. Champ : France métropolitaine, hors ménages étudiants. Source : CGDD, modèle Prometheus 2024. En 2021, 11,9 % des ménages vivant en France métropolitaine, soit 3,4 millions de ménages, sont en situation de précarité énergétique (graphique 1). L'indicateur « brut » de précarité énergétique basé sur le taux d'effort énergétique (voir encadré) augmente ainsi de 1,4 point par rapport à 2020 [1]. L'indicateur « brut » de précarité énergétique retrouve ainsi des niveaux proches de la période 2016-2019 où il atteignait en moyenne 11,7 %.

Énergie : bilan 2022 et tendances en 2023

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  • Infographie

  • Économie

  • Énergie

Retrouvez l’essentiel du bilan définitif de l’énergie pour l’année 2022 en infographie et une synthèse avec les données provisoires pour 2023.
Graphique présentant l'évolution de la précarité énergétique, au sens du taux d'effort énergétique Valeurs de l'indicateur brut pour les années 2015 à 2022 : 12,1 % / 11,2 % / 11,2 % / 11,5 % / 11,0 % / 9,9 % / 11,7 % / 10,8 % Valeurs de l'indicateur corrigé de la météo pour les années 2015 à 2022 : 12,6 % / 11,0 % / 11,4 % / 12,1 % / 11,4 % / 10,9 % / 11,6 % / 11,6 % Note de lecture : en 2022, l'indicateur de précarité énergétique basé sur le taux d'effort énergétique s'élève à 10,8 %. Corrigé des conditions météorologiques, il est de 11,6 %. Champ : France métropolitaine, hors ménages étudiants. Source : CGDD, modèle Prometheus 2024. En 2021, 11,9 % des ménages vivant en France métropolitaine, soit 3,4 millions de ménages, sont en situation de précarité énergétique (graphique 1). L'indicateur « brut » de précarité énergétique basé sur le taux d'effort énergétique (voir encadré) augmente ainsi de 1,4 point par rapport à 2020 [1]. L'indicateur « brut » de précarité énergétique retrouve ainsi des niveaux proches de la période 2016-2019 où il atteignait en moyenne 11,7 %.

Une première liste révèle les champignons menacés de disparition

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  • Biodiversité

  • Menaces sur la biodiversité

La première liste des champignons menacés en France recense 12 espèces qui présentent un risque de disparition, et 16 sur le point de devenir menacée.
Graphique présentant l'évolution de la précarité énergétique, au sens du taux d'effort énergétique Valeurs de l'indicateur brut pour les années 2015 à 2022 : 12,1 % / 11,2 % / 11,2 % / 11,5 % / 11,0 % / 9,9 % / 11,7 % / 10,8 % Valeurs de l'indicateur corrigé de la météo pour les années 2015 à 2022 : 12,6 % / 11,0 % / 11,4 % / 12,1 % / 11,4 % / 10,9 % / 11,6 % / 11,6 % Note de lecture : en 2022, l'indicateur de précarité énergétique basé sur le taux d'effort énergétique s'élève à 10,8 %. Corrigé des conditions météorologiques, il est de 11,6 %. Champ : France métropolitaine, hors ménages étudiants. Source : CGDD, modèle Prometheus 2024. En 2021, 11,9 % des ménages vivant en France métropolitaine, soit 3,4 millions de ménages, sont en situation de précarité énergétique (graphique 1). L'indicateur « brut » de précarité énergétique basé sur le taux d'effort énergétique (voir encadré) augmente ainsi de 1,4 point par rapport à 2020 [1]. L'indicateur « brut » de précarité énergétique retrouve ainsi des niveaux proches de la période 2016-2019 où il atteignait en moyenne 11,7 %.

Télétravail : suivez ces écogestes pour réduire votre empreinte carbone

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  • Climat

  • Atténuation des impacts du changement climatique

Le télétravail a un impact non négligeable sur le climat, mais il est possible de réduire son empreinte carbone en adoptant des écogestes simples et faciles.
Graphique présentant l'évolution de la précarité énergétique, au sens du taux d'effort énergétique Valeurs de l'indicateur brut pour les années 2015 à 2022 : 12,1 % / 11,2 % / 11,2 % / 11,5 % / 11,0 % / 9,9 % / 11,7 % / 10,8 % Valeurs de l'indicateur corrigé de la météo pour les années 2015 à 2022 : 12,6 % / 11,0 % / 11,4 % / 12,1 % / 11,4 % / 10,9 % / 11,6 % / 11,6 % Note de lecture : en 2022, l'indicateur de précarité énergétique basé sur le taux d'effort énergétique s'élève à 10,8 %. Corrigé des conditions météorologiques, il est de 11,6 %. Champ : France métropolitaine, hors ménages étudiants. Source : CGDD, modèle Prometheus 2024. En 2021, 11,9 % des ménages vivant en France métropolitaine, soit 3,4 millions de ménages, sont en situation de précarité énergétique (graphique 1). L'indicateur « brut » de précarité énergétique basé sur le taux d'effort énergétique (voir encadré) augmente ainsi de 1,4 point par rapport à 2020 [1]. L'indicateur « brut » de précarité énergétique retrouve ainsi des niveaux proches de la période 2016-2019 où il atteignait en moyenne 11,7 %.

Un quiz en ligne pour mieux comprendre les effets de la surexploitation du sable

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  • Biodiversité

  • Sols et sous-sols

Le quiz « Le sable, une ressource qui nous file entre les doigts ? » explique les conséquences environnementales de la surexploitation du sable et propose des alternatives.
Graphique présentant l'évolution de la précarité énergétique, au sens du taux d'effort énergétique Valeurs de l'indicateur brut pour les années 2015 à 2022 : 12,1 % / 11,2 % / 11,2 % / 11,5 % / 11,0 % / 9,9 % / 11,7 % / 10,8 % Valeurs de l'indicateur corrigé de la météo pour les années 2015 à 2022 : 12,6 % / 11,0 % / 11,4 % / 12,1 % / 11,4 % / 10,9 % / 11,6 % / 11,6 % Note de lecture : en 2022, l'indicateur de précarité énergétique basé sur le taux d'effort énergétique s'élève à 10,8 %. Corrigé des conditions météorologiques, il est de 11,6 %. Champ : France métropolitaine, hors ménages étudiants. Source : CGDD, modèle Prometheus 2024. En 2021, 11,9 % des ménages vivant en France métropolitaine, soit 3,4 millions de ménages, sont en situation de précarité énergétique (graphique 1). L'indicateur « brut » de précarité énergétique basé sur le taux d'effort énergétique (voir encadré) augmente ainsi de 1,4 point par rapport à 2020 [1]. L'indicateur « brut » de précarité énergétique retrouve ainsi des niveaux proches de la période 2016-2019 où il atteignait en moyenne 11,7 %.

Comment se porte la biodiversité en France en 2024 ?

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  • Infographie

  • Biodiversité

  • Connaissance de la biodiversité

À l’occasion de la journée mondiale de la biodiversité, l’Observatoire national de la biodiversité (ONB) dresse un bilan de l’état de la biodiversité en France.
Graphique présentant l'évolution de la précarité énergétique, au sens du taux d'effort énergétique Valeurs de l'indicateur brut pour les années 2015 à 2022 : 12,1 % / 11,2 % / 11,2 % / 11,5 % / 11,0 % / 9,9 % / 11,7 % / 10,8 % Valeurs de l'indicateur corrigé de la météo pour les années 2015 à 2022 : 12,6 % / 11,0 % / 11,4 % / 12,1 % / 11,4 % / 10,9 % / 11,6 % / 11,6 % Note de lecture : en 2022, l'indicateur de précarité énergétique basé sur le taux d'effort énergétique s'élève à 10,8 %. Corrigé des conditions météorologiques, il est de 11,6 %. Champ : France métropolitaine, hors ménages étudiants. Source : CGDD, modèle Prometheus 2024. En 2021, 11,9 % des ménages vivant en France métropolitaine, soit 3,4 millions de ménages, sont en situation de précarité énergétique (graphique 1). L'indicateur « brut » de précarité énergétique basé sur le taux d'effort énergétique (voir encadré) augmente ainsi de 1,4 point par rapport à 2020 [1]. L'indicateur « brut » de précarité énergétique retrouve ainsi des niveaux proches de la période 2016-2019 où il atteignait en moyenne 11,7 %.

Les métaux lourds nuisent au développement des abeilles

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  • Société

  • Recherche scientifique

Des chercheurs du CNRS ont mis en évidence les effets dévastateurs des métaux lourds sur les abeilles et leur capacité d’apprentissage.
Graphique présentant l'évolution de la précarité énergétique, au sens du taux d'effort énergétique Valeurs de l'indicateur brut pour les années 2015 à 2022 : 12,1 % / 11,2 % / 11,2 % / 11,5 % / 11,0 % / 9,9 % / 11,7 % / 10,8 % Valeurs de l'indicateur corrigé de la météo pour les années 2015 à 2022 : 12,6 % / 11,0 % / 11,4 % / 12,1 % / 11,4 % / 10,9 % / 11,6 % / 11,6 % Note de lecture : en 2022, l'indicateur de précarité énergétique basé sur le taux d'effort énergétique s'élève à 10,8 %. Corrigé des conditions météorologiques, il est de 11,6 %. Champ : France métropolitaine, hors ménages étudiants. Source : CGDD, modèle Prometheus 2024. En 2021, 11,9 % des ménages vivant en France métropolitaine, soit 3,4 millions de ménages, sont en situation de précarité énergétique (graphique 1). L'indicateur « brut » de précarité énergétique basé sur le taux d'effort énergétique (voir encadré) augmente ainsi de 1,4 point par rapport à 2020 [1]. L'indicateur « brut » de précarité énergétique retrouve ainsi des niveaux proches de la période 2016-2019 où il atteignait en moyenne 11,7 %.

25e édition du Printemps BIO : découvrez le savoir-faire des agriculteurs près de chez vous

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  • Économie

  • Agriculture, pêche et aquaculture

Partez à la découverte de l’agriculture biologique dans le cadre du Printemps BIO 2024 organisé du 22 mai au 21 juin partout en France.
Graphique présentant l'évolution de la précarité énergétique, au sens du taux d'effort énergétique Valeurs de l'indicateur brut pour les années 2015 à 2022 : 12,1 % / 11,2 % / 11,2 % / 11,5 % / 11,0 % / 9,9 % / 11,7 % / 10,8 % Valeurs de l'indicateur corrigé de la météo pour les années 2015 à 2022 : 12,6 % / 11,0 % / 11,4 % / 12,1 % / 11,4 % / 10,9 % / 11,6 % / 11,6 % Note de lecture : en 2022, l'indicateur de précarité énergétique basé sur le taux d'effort énergétique s'élève à 10,8 %. Corrigé des conditions météorologiques, il est de 11,6 %. Champ : France métropolitaine, hors ménages étudiants. Source : CGDD, modèle Prometheus 2024. En 2021, 11,9 % des ménages vivant en France métropolitaine, soit 3,4 millions de ménages, sont en situation de précarité énergétique (graphique 1). L'indicateur « brut » de précarité énergétique basé sur le taux d'effort énergétique (voir encadré) augmente ainsi de 1,4 point par rapport à 2020 [1]. L'indicateur « brut » de précarité énergétique retrouve ainsi des niveaux proches de la période 2016-2019 où il atteignait en moyenne 11,7 %.

Fête de la nature 2024 : découvrez les activités organisées près de chez vous

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  • Biodiversité

  • Connaissance de la biodiversité

La Fête de la nature propose plus de 1500 activités partout en France, du 22 au 26 mai 2024.
Graphique présentant l'évolution de la précarité énergétique, au sens du taux d'effort énergétique Valeurs de l'indicateur brut pour les années 2015 à 2022 : 12,1 % / 11,2 % / 11,2 % / 11,5 % / 11,0 % / 9,9 % / 11,7 % / 10,8 % Valeurs de l'indicateur corrigé de la météo pour les années 2015 à 2022 : 12,6 % / 11,0 % / 11,4 % / 12,1 % / 11,4 % / 10,9 % / 11,6 % / 11,6 % Note de lecture : en 2022, l'indicateur de précarité énergétique basé sur le taux d'effort énergétique s'élève à 10,8 %. Corrigé des conditions météorologiques, il est de 11,6 %. Champ : France métropolitaine, hors ménages étudiants. Source : CGDD, modèle Prometheus 2024. En 2021, 11,9 % des ménages vivant en France métropolitaine, soit 3,4 millions de ménages, sont en situation de précarité énergétique (graphique 1). L'indicateur « brut » de précarité énergétique basé sur le taux d'effort énergétique (voir encadré) augmente ainsi de 1,4 point par rapport à 2020 [1]. L'indicateur « brut » de précarité énergétique retrouve ainsi des niveaux proches de la période 2016-2019 où il atteignait en moyenne 11,7 %.